top of page
bgImage

Cliquez ici pour modifier le titre

"La santé n'est pas l'absence de maladie ou d'infirmité, mais un état complet de bien-être physique, mental ou social" (Définition de l'O.M.S)

On peut éprouver le besoin de consulter un psychologue lorsqu'on est confronté à :
  • Une souffrance psychique et/ou physique sans origine organique probante, des douleurs chroniques perturbant votre capacité d'autonomie et qualité de vie,
  • Des angoisses diffuses ou invalidantes comme les troubles anxieux, des phobies qui peuvent aller jusqu’au sentiment de perte de contrôle qui conduisent à s’interroger sur soi-même et ses relations à l'autre, sur le sens de la vie,
  • Un sentiment de déprime qui revient trop souvent ou une dépression, accompagnée d'une image dévalorisée de soi, de trouble du sommeil, d'un manque d'entrain, allant jusqu’au repli sur soi, la fuite des relations,
  • Une souffrance au travail (harcèlement, burn-out...) qui amène à ressentir de l’impuissance, de l’apathie, de l’épuisement voire du désespoir face à cette remise en cause de l’itinéraire identitaire ainsi que du statut social,
  • Des évènements traumatiques donnant le sentiment d'un avant/d'un après : agression, maladie, deuil...,
  • Des problèmes familiaux et situations conflictuelles que ce soit au sein du couple, de la fratrie, épreuves nécessitant d'y voir un peu plus clair pour les surmonter,
  • Des dépendances, affectives ou à un produit (troubles de comportement alimentaires, tabac, alcool, opiacés…),
  • Des difficultés d'ordre scolaire,en lien avec les apprentissages, trouble de l'attention, l'hyperactivité, des terreurs nocturnes, des troubles du comportement, pour les enfants ou adolescents,
  • Les épreuves de la vie avec son lot de séparations, chômage, divorce, départ à la retraite, la perte d'un conjoint, une difficulté d'appréhension de la fin de vie, l'apparition d'une maladie somatique… 

Pour le patient: il s’agit de faire advenir un désir d'appréhender sa demande, de développer une conscience plus fine de soi, de ses difficultés en lien à son environnement. Une prise de parole permet également de cerner les enjeux qui lient le sujet à ses premières relations dans le face à face avec le clinicien.


Du côté du thérapeute: il s’agit d'adopter une attitude de bienveillance, de disponibilité et de non jugement, tout en aidant le patient à prendre conscience de son dit comme du non-dit; mettre le projecteur sur différentes facettes d'une même problématique, voire de faire émerger de l'inédit; de faire changer la position du patient envers ce qui le préoccupe ou l’entrave.

bottom of page